Je sort mon cleb's... mais comme d'hab c'est compliquer xD (libre avec minimum Miyou)

Nombre de messages : 14 Date d'inscription : 16/03/2009

Haru venait de sortir d'une réunion des Hell's Fire, ils venaient de programmer leur planning de la semaine et de traiter des différents problèmes, notamment avec certain petit gang qui se prenait pour plus importants qu'il ne l'était. Il avait les mains dans les poches de son manteau et soupira grandement laissant de la buée sortir. La température devait environner les zéros. Numéro commença a courir partout reniflant les trotoir, tournant en rond pour s'attraper la queue ou tournait et courant autour d'Haru pour qu'il joue avec lui. Haru n'étant pas d'humeur à joué il avança comme si de rien était, Numéro comprenant bien vite qu'il ne jouerait pas maintenant, il repartit dénicher on ne sait quoi. Haru regarda le ciel noir paisiblement ne pensant à rien. Un gamin vint le heurter, et la mère de celui ci accourut vers lui, elle le prit par la main et commença à s'excuser a répétition, elle avait des bleus au mains et un œil au beur noir, il était donc flagrant qu'elle se faisait battre souvent. Haru s'accroupit pour être à la taille du gamin dont il tapota la tête.

"Tu devrais faire attention ou tu court gamin, il y à des gens mauvais qui ne vaut mieux pas embêter....
-Je sais bien monsieur, désolé monsieur!
-Bon petit et fait attention à ta mère, plus tard tu devras devenir un homme et la protéger ok? Si tu le fais pas je viendrais te botter l'arrière trains!
-Retenu m'sieur!
-Ok alors file!"

Haru lui donna un pomme avant qu'il ne parte à toute jambe en faisant de grand signe de pomme un large sourire au lèvres suivit par sa mère qui était visiblement soulager. Numéro revint alors avec une vieille chaussure dans la gueule. Haru lui caressa la tête et prit la chaussure avant de la mettre dans son sac à dos.

"Avec ça tu mâchouillera pas les miennes au moins!"

Le chien répondit d'un aboiement heureux et repartie droit en avant. Haru fut surpris alors, Numéro s'arrêta net et repartit vers la droite ou s'ouvrait une ruelle en aboyant. Un éclat de voix ce fit entendre et Haru ne présagea rien de bon, en effet bien que courageux Numéro restait un chiot.

Encore un lundi comme les autres. Une jeune fille chargé de caisses tirait un gros chariot derrière elle. Elle revenait des courses pour le rest'hôtel. D'habitude elle n'y allait pas seule avec la quantité de nourriture qu'il fallait transporter à travers la ville. Heureusement pour elle le centre commercial n'était pas trop loin. C'estfou ce que les gens peuvent manger en une soirée. Il y avait là pour une fortune en charcuterie, fruits divers et autres. En fait la majorité des recettes du restaurant servaient à payer ce qu'on y servait. Le reste était mis à profit pour le logement de nos clients juste au-dessus. Ils ne pouvaient se permettre des couvertures rapiécées ou un laisser aller dans l'entretient de la chambre sous peine de perdre leurs clients. Et Dieu sait qu'ils en avaient besoin.

La jeune fille s'arrêta un instant histoire de retrouver ses forces. Elle posa les deux caisses qu'elle tenait dans ses bras au sol et détacha la ceinture du charriot qu'il lui servait à tirer le reste. Les gens devait bien rire en la voyant traîner ça derrière elle telle une mule. Mais c'était bien là le cadet de ses soucis. Elle se regarda dans la vitrine sombre d'un magasin de meubles qui venait de fermer. Voila ce qui les attendait si ils peradaient leurs clients. Elle passa sa main dans sa longue chevelure rousse pour y remettre un peu d'ordre et épousseta son pull à manche trois quart bleu sombre où quelques copeaux de la caisse avait élu domicile. Elle se regarda ensuite dans son ensemble. Elle avait un patalon de la même couleur que son haut qui se terminait par deux bottes noires à petit talon qui était plus confortable pour marcher. A cela s'ajoutait une ceinture jaune de la même couleur que la multitude de bracelets qui ornaient ses bras. Satisfaite de ce qu'elle voyait elle se retourna à nouveau vers son "chargement".

* Allez je suis presque arrivée! *

Alors qu'elle allait rattaché la ceinture du chariot à sa taille sugirent de la pénombre trois silhouettes peu engageante. Ils l'avaient encerclé ne lui laissant aucune échapatoire. Elle aurait du s'en douter. Un "convoît" de nourriture était la cible la plus courante étant donné le prix de la viande et des légumes sur le marché. Elle se pencha doucement de sorte à sortir le couteau qu'elle gardait caché en permanence dans sa botte en cas de problèmes. Elle ne le sortie pas encore pour s'assurer des intentions de ces jeunes gens.

" Que puis-j.... "

Mais alors qu'elle ouvrait la bouche des aboiemments l'interrompurent. Miyouki tourna la tête dans la direction d'où il venait et vit un petit chiot sugir d'un ruelle adjaccente et se précépiter vers elle...

Nombre de messages : 14 Date d'inscription : 16/03/2009

Haru se précipita au coin de la ruelle pour voir ce qui ce passait, il arriva pour voir Numéro choper le bras d'un gars qui se débattit violemment et réussis à faire lâché prise a Numéro s'écrasa dans les poubelles deux mètres plus loin. Un autre mec sortit une batte et s'approcha de Numéro, au moment ou il allait frapper Numéro un bruit résonna et la batte du mec explosa. Haru s'approcha refermant l'arme à feu ncore fumante dans son bras et chopa une barre métallique au passage. Un troisième gars sortit une mattraque et fonça en ligne droite sur Haru qui soupira avant de l'intercepter d'un revers de barre. Le dernier sortit un chaine avec un poids au bout qu'il fit tournoyer avant de l'envoyer vers Haru qui l'intercepta de sa main libre avant de la tirer d'un grand coups faisant tomber le voyou en avant. Les trois gaillards prirent alors leur jamabes à leur cous et Haru s'approcha d'une fille qui transportait pas mal de nourriture. Numéro revint par la même occasion joyeusement vers lui.

"Dis donc! T'en as de la bouffe, une fille dans ce genre de quartier avec autant de bouffe! c'est plutôt dangeureux tu crois pas? Aller pour un peu de viande je t'escorte jusqu'à chez toi! c'est une offre honnête tu crois pas?"

Les yeux d'Haru était émerveiller par toute cette nourriture, lui même n'aurait jamais les moyens de s'en acheter autant.

"Mais dis donc, tu dois être riche pour t'acheter autant de bouffe... Une gosse de riche devrait pas se promener seule dans ce genre de quartier peu recommandable, c'est déconseillé, oh oui!"

Numéro commença a renifler la fille avant de se mettre derrière les jamabes d'Haru et de reluquer à son tour la quantité de nouriture.

Miyouki s'arrêta quand elle vit le chien arriver et s'attaquer à l'un de ses trois assaillants. Il fut rapidement rejoind par un jeune homme qui de toute évidence était un cyborg. Elle remis rapidement son couteau en place dans sa botte et regarda le nouveau venu faire. Il se chargea sans aucun problème des trois types. Quand les trois furent au sol Miyouki recula légèrement de sorte à se mettre à côté de son chariot. Le nouveau venu se tenait debout immobile face à elle quand les hommes s'enfuirent à toutes jambes hors de sa portée. Il s'approcha alors d'elle. Le jeune chien qui semblait lui appartenir s'approcha de Miyouki et la renifla quelques instant avant de retourner vers son maître. Celui ci s'était placé derrière ses jambes de sorte à mettre le jeune homme entre eux.

Il lui parla alors lui disant que se promener avec autant de "bouffe" n'était pas sure et ce genre de chose. Il la prenait pour une gamine ou quoi ? Elle savait très bien le danger qu'était de faire ce trajet avec autant de nourriture. Mais ce n'était pas la prmière fois qu'elle le faisiat. Non en réalité c'était tous les lundi la même chose et sur ce même trajet. Le jeune chien avait tourné sa truffe vers son "convoi" et humait l'air. Il devait avoir compris aussi bien que son maitre ce qui se trouvait à bord de son chargement. Elle se redressa et se tînt droite et fière.

" Je n'ai pas besoin d'escorte merci je me débrouille très bien toute seule. Et je connais surement aussi bien que toi ces rues! "

Puis elle se souvînt qu'il l'avait quand même aidé. Malgré ce qu'elle affirmait elle ne s'en serait peut-être pas aussi bien sortie ou n'en serait même pas sortie du tout. Elle pouvait peut-être aussi avoir besoin d'un peu d'aide pour rammener tout ça chez elle. Miyouki avait déjà perdue pas mal de temps mais elle ne pouvait se permettre de donner à tout va la viande. Il en aurait besoin au rest'hôtel. Et à la prendre pour une riche il commençait vraiment à l'ennerver. Tout l'argent qu'ils gagnaient allait dans le restaurant ou dans les chambre pour l'hôtel.

" Premièrement contrairement à ce que tu penses je ne suis pas riche. Ce que je transporte est le ravitaillement de la semaine pour le restaurant car oui ma famille tient un petit rest'hôtel. Deuxièmement si on tient à garder notre commerce on ne peut pas s'amuser à donner notre viande à qui vient en réclamer. Maintenant je peux te proposer quelque chose. Si tu m'aides à ammener tout ça là-bas je t'offre le gite et le couvert jusqu'à demain matin. Voilà mon marché honnête. Tu en penses quoi ? "

Elle se retourna alors et empoigna les deux caisses qu'elle transportait tout à l'heure pour les lui tendre au cas où il accepterait.

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Haru laissa parler la jeune fille avec agacement, elle ne devait pas savoir qui il était mais bon cela il s'en fichait. Son chien eu un grognement d'impatience envers Haru, évidemment il s'ennuyait beaucoup. Haru décida donc de mettre vite un terme a la discutions.

"Oula gamine on se calme là oh! Désolé de m'être trompé mais bon y a pas écrit "je tiens un resto" sur ton front, et en générale peu de gens peuvent se vanter d'avoir autant de nourriture. Ton offre me semble en tout cas correcte, sauf pour le gite j'ai un appart' alors je m'en fou un peu."

Haru prit ce que lui tendait la jeune fille et la suivi, le chien toujours sur ses pas reniflant à droite à gauche pour trouver "x" chose qu'il gardait dans sa bouche jusqu'à ce qu'il trouve autre chose qui lui fasse envi. Pas mal de gens les regardaient avec de mauvaise intention évidente, mais bien que la jeune fille ne le connaisse pas, seul la réputation d'Haru retenait tout ce beau monde de les attaquer. En effet les Hell's Fire était respecter et crains un peu partout, de plus en plus de pauvres voulaient les rejoindre et les bagarres à mort étaient fréquente. La dernière justement avait été meurtrière, un groupes "révolutionnaire" néoterriens les avaient attaquer, et bien que les Hell's fire les aient tous exterminer ils avaient perdu une vingtaine d'homme dont un capitaine de groupes ce qui était une grande pertes. (les capitaine de groupes ont la direction d'un groupes, un groupes est composer de dix a vingt personnes selon la renommé du capitaine. Il y à aussi des conseiller, ils sont au nombre de cinq et gère les capitaine et leur groupes.) Un homme se détacha alors de la foule et accouru vers Haru il était blesser au bras et avait une sombre mine. C'était un homme d'Haru, reconnaissable au t-shirt qu'il avaient eux mêmes cousu.

"Chef, je me suis fait prendre dans une embuscade pendant ma ronde! Un nouveau groupes, l'un de mes compagnons c'est fait tuer, il sont principalement cyborg!.... Chef? Pourquoi portez ces trucs?
-Je t'en pose des questions? Va faire le même rapport au autres je vous enverraient un message pour vous dire ou ce trouve le lieu de la réunion de ce soir, réunion express semble-t-il..."

Le gars repartit Haru se tourna vers la jeune fille.

"Réjouis toi on va être nombreux ce soir dans ton resto!"

La jeune fille se calma. Il était vrai qu'avec toutes ses victuailles elle pouvait avoir l'air facilement d'une petite riche même on comprenait rapiement à son regard que ce n'était pas le cas. Elle avait fixé la "ceinture" du chariot autour de son poignet en l'attachant sur elle meme de sorte à faire une sorte de poignée qui devrait tenir jusqu'au rest'hôtel. Ils n'étaient plus très loin après tout.

Etrangement les personnes qui se trouvait dans la rue à ce moment là et ayant avisé la viande et autres victuailles en tout genre ne s'approchèrent pas comme d'habitue pour quémander quelques pièces de boeuf ou jusqu'à la simple pomme. Ils restaient autour d'eux et les regardait passer en silence. Ce silence lui était tellement étranger. C'était un silence géné et tendu. D'habitude les seuls silences qu'on entendait ici était celui du danger imminent mais malgré les regards qui se portaient sur eux elle ne se sentait pas menacée. Quelque chose les dissuadait d'approcher.

* Quelque chose... ou quelqu'un. *

Miyouki tourna alors son regard vers le jeune homme qui avait accepté de l'accompagner et de l'aider à transporter tout ça contre un repas. Elle le détailla de ses grands yeux brun/rouge. Elle cherchait un signe qui lui expliquerait la raison de ce respect mêlé de crainte que les gens ressentaient pour lui. Elle se remémora alors ce qu'elle avait vu tout à l'heure et la manière dont ils avait battu ses trois adversaires sans le moindre problème. Maintenant qu'elle y pensait c'était étrange. Enfin il l'aidait donc elle n'allait pas s'amuser à le remettre en cause.

Puis tout à coup surgit un homme d'entre deux ruelles pour se précépiter vers eux. Elle esquissa un mouvement vers son couteau mais ne fit rien d'autre. Il n'avait rien à faire de ce qu'elle transportait. Il était là pour le jeune homme. Il avait l'air salement amoché et ses vêtements ne tenait plus la route. Il l'appelait "chef" en parlant de groupes et de tueries. Le "chef" répondit et l'envoya prévenir les autres. Il lui était clair maintenant que le jeune homme n'était autre qu'un chef de l'une de ces bandes qui mettait la vile à feu et à sang. Elle n'appréciait pas beaucoup ce genre de comportement et elle ne l'aurait pas pensé comme ça. Elle avait fini par le trouver "sympathique". Le restaurant serait apparemment leur lieu de rendez-vous.

" Et est-ce que je pourrais avoir ton nom "chef" ? Tu es donc l'un de ces chef de gang qui engendre pas mal de dégats en ville? "

Elle venait de se rendre compte de son ton alors que dorénavant elle devait le voir comme un client et donc le traité en bonne serveuse. Ce n'était plus un simple passant qui l'avait aidé à rammener quelques paquets de nourriture au rest'hôtel de sa famille.

" Et sinon vous serez à peu près combien ce soir? Ca doit dur tout ça à gérer."

Elle pris la tête et tourna à gauche ans une petite ruelle qui s'enfonçait entre deux enormes immeubles la préservant de la lumière. Habituée elle evita les poubelles renversées qui se trouvaient à droite et se baissa quand elle du passer sous l'echelle de secours. Elle en avait tellement l'habitude qu'elle le faisait machinalement sans y penser et oublia de prévenir le jeune homme qui marchait derrière elle. Enfin ils débouchèrent dans une rue plutôt ouverte et animée. Elle la remonta sur quelques mêtre et bifurqua à nouveau dans une rue un peu plus étroite. De là où ils étaient ils pouvaient voir l'enseigne où s'inscrivait en grand "Kuzumi's Place".

" Nous voilà presque arrivé. Tu vois c'est juste là. "

Tout en disant cela elle pointa son doigt en direction du rest'hôtel.

Nombre de messages : 14 Date d'inscription : 16/03/2009

Au parole de la jeune fille Haru sentait qu'elle n'appréciait pas plus que ça les gang. Il s'en moquait un peu car de toute façon ce ne serait qu'une personne de plus qui ne l'appréciait pas. Il regarda le garçon partir, il ne connaissait pas personnellement chaque membres du groupes et ne connaissait que son nom et son numéro de téléphine mobile mais il ne lui donnait pas 17 ans. Il regarda alors le ciel avant de dire d'un ton presque ironique.

"Ouais je suis un de ces types... Et que ça te plaise ou non d'ailleurs! Sinon nous seront une vingtaine minimum, une trentaine maximum le reste ne viendra pas ça serait galère, on est plus d'une soixantaine je pourrais pas cadrer tout le monde, sinon je m'appelle Haru..."

Ils continuèrent de marcher jusqu'à arriver devant une baraque dont Haru ne regarda pas l'architecture ni rien. La fille montra le resto et ils y entrèrent. Haru ayant pris soins d'enregistrer l'adresse dans son disque dur envoya un message à tout les membres convier. Ceci fait il regarda la fille et lui dit.

"Je pose ces truc où au juste?"

Une vingtaine au moins.. Trente au plus.. Il n'y aurait guère beaucoup plus de place. Autant considérer que les tables seraient toutes réservées pour Haru et son groupe. Elle laisserait juste une ou deux tables restantes d'accès libre pour les habitués et bien sur le bar. Il faisait pas mal de leur recette avec donc elle se voyait mal le fermer. Mais avec un rendez vous de ce genre peu de gens auront envie de s'aventurer chez eux ce soir là. En y pensant elle n'avait jamais entendu parler du groupe de Haru.. Ni de Haru lui-même à vrai dire. Miyouki se demandait si il s'agissait d'un nouvellement formé mais ça l'étonerait quand même qu'ils aient autant de membres... Du moins pas encore. Elle se retourna vers Haru toujours l'esprit pratique.

" Tu comptes réserver les tables pour toute la soirée ? "

Miyouki arrêta à ce moment là le chariot devant une vielle batisse qui remontait aux premières installations. Elle datait d'avant la vieille guerre et sa mère n'avait fait subir aucun changement d'apparence exterieur quand elle l'avait racheté. Elle trouvait que ça gardait le charme intact. La rue autour d'eux commençait à s'assombrit avec le jour tombant rendant la vue un peu morne et terne. La nuit ne prévalait guère mieux là où on y voyait absolument rien et l'unique lampadaire qu'on avait nous même fait installé faisait alors peine à voir, quand il projetait doucement quelques raies de lumière éparses qui laissaient entrevoir la porte brune du restaurant. Juste au dessus de celle-ci on pouvait à nouveau lire le nom de l'établissement suivi de "rest'hôtel". Les lettres commençaient à s'écailler et Miyouki se dit qu'un coup de peinture ne ferait pas de mal. Enfin elle attendrait demain ce soir elle n'en aurait pas le temps. Elle contouran l'entrée principale pour se diriger dans une petite ruelle qui passait parfaitement inaperçue aux yeux de ceux qui ne connaissait pas son existence.

" Suit moi on va passer par l'entrée de service qui mène directement aux cuisines. Enfin dans le temps elle était surtout utilisée comme porte de secours lors des attaques. "

Elle s'y enfonça en s'assurant qu'Haru la suivait bien. On y voyait très mal mais elle la connaissait par coeur et tendit subitement la main à gauche et disparut dans une embouchure. Elle se retrouva dans la cuisine et déposa le chariot au fond près de la réserve.

" Tu n'as qu'à déposer les sacs à côté. Je vais les ranger."

Et elle lui sourit pour le remercier d'avoir tout porter jusque là.

Nombre de messages : 14 Date d'inscription : 16/03/2009

Haru posa la marchandise et se frotta l'arrière de la tête en baillant. Il regarda alors un peu autour de lui pour voir ce qu'était ce restaurant. C'était très correcte.

"Mouais je réserve toute les tables, met tout sur une addition, tu m'as dit que tu m'offrait le repas tu m'as pas dit de quel taille et que je n'ai pas le droit de le partager..."

Haru alla s'assoir à une table et décida d'éteindre son portable car il avait la fleme de répondre à tout les messages envoyer par les membres pour donné leur excuses.

"Ne t'inquiète pas je plaisante mais met tout sur une addition ça évitera de gacher du papier... pour ma part je préfère manger avant que eu n'arrive comme ça je n'aurais pas a entendre leur gérémiade car je mange pas de façon saine..."

Haru rejeta la tête en arrière, il n'y avait pas de client pour l'instant, peut être était-ce un vieux restau que pas grand monde ne connait et qui mettrais bientot la clef sous la porte.

"C'est connus ici?"

[désolé pas d'inspi]

Miyouki ouvrit la lourde porte de la chambre froide où il conservait la viande et tous les produits frais. Elle tira le chariot à l'intérieur et déchargea lentement la viande, les rangeant selon des catégories bien précises ce qui permettait de gagner du temps lorsqu'on passait en cuisine et comme le répétait si souvent sa mère, le temps était de l'argent. Si le service n'était pas rapide, le restaurant perdrait de son efficacité et don de ses clients. Déjà il y avait les différentes sortes comme le boeuf, le porc, l'agneau, le poulet, etc. Puis venait encore les parties de la viande comme l'épaule, le dos, etc. Car chacune se cuisinait différemment et qu'on ne pouvait se permettre ce genre d'erreur. Après avoir déchargé la viande elle s'occupa des fruits et légume qui allait dans une salle à côté, un peu plus chaude que la chambre froide mais moins chaude que dans la cuisine. Là encore il y avat un tri à faire. Les produits surgelés allaient dans de grands bacs réfrigérants se trouvant dans la salle des "fruits & légumes". Et le reste comme le sucre, la farine, les herbes et autres finissaient dans la réserve. Après avoir terminé de ranger les victuailles de la semaine, Miyouki rangea les sacs et le chariot à leur endroit habituel.

Après en avoir fini avec ça elle retrouva Haru dans la salle du restaurant au milieu des tables. Il lui dit alors quelque chose qui faillit bien lui causer une crise cardiaque. Il était vrai qu'elle lui avait promis un repas mais nourrir toute une salle gratuitement était cher payé et n'était pas bon pour eux car ils feraient une soirée sans bébéfices, aucun. Elle était devenue plus blanche encore que d'habitude mais ne montra pas son malaise. Enfin sauf quand elle essaya d'alligner trois mots.

" O.. oui.. Euh... "

Elle n'avait pas encore eu le temps de terminer, prtotester ou autre qu'il avait enchaîner en assurant qu'il plaisantait. Miyouki ne put retenir un petit soupir qui lui echappa alors de soulagement. Il allait manger avant que les autres n'arrivent et s'était déjà installé à l'une des tables de la salle. Elle retourna a la cuisine un instant afin d'aller chercher son tablier qui ne recouvrait que son bas jusqu'a hauteur des genoux ou plutôt un peu plus haut. Et s'approcha de lui.

" On a à peu près de tout et on fait de même. Donc propose un plat et je te dirais si c'est possible. "

En disant cela elle s'était assise sur une des chaises de la table. après tout elle avait tout son temps et bon pourquoi ne pas discuter un peu avec lui. Il lui avait demandé si le rest'hôtel était connu. Ca ne l'étonnait pas qu'il pose la question. Il est vrai que quand on le voyait comme ca en début d'après-midi où il n'y avait pratiquement personne tout le monde aurait pu se poser cette question.

" Il n'est pas très connu certe mais il tourne plutôt bien. On est un peu le point de rendez-vous après le travail pour décompresser en buvant un verre. La grande majorité de nos clients arrivent le soir et restent une partie de la nuit. Mais on ferme autour des une heure du matin en général ou plus personne ne vient. Ou plutôt on va se coucher mais le restaurant est toujours ouvert lui. Il y a un mécanisme qui nous prévient dans la chambre si quelqu'un entre. "

Elle posa son calepin sur la table et commença à jouer avec l'une des feuilles. Même si c'était rare il lui était déjà arrivé de se lever en pleine nuit pour ça. Mais ça ne la dérangeait pas, c'était une manière comme une autre de survivre. Elle retourna son attention sur le jeune homme, ou plutôt Haru. Il lui semblait un peu hautain mais malgré ses airs sembalit avoir un bon fond.

" Alors une idée de ce que tu veux manger? "

Nombre de messages : 14 Date d'inscription : 16/03/2009

Haru réfléchis un instant. Il mangeais toujours des pattes ou du riz d'habitude, une peu de viande pour les grandes occasions. Il voulait manger un truc qui sorte de l'habitude voir qu'il n'avait jamais manger. Il prit numéro entre ses mains et le leva devant lui pour le regarder dans les yeux, bien que celui ci ai toujours le regard fuyant. Il essayait de savoir ce que numéro mangerait si il pouvait commander n'importe quoi. Il eu une bonne dizaine de minute de réflexion. Il posa d'un coup Numéro par terre et croisa les bras levant la tête au plafond d'un air contrarié. Le cleb's ne lui avait pas donner d'idée a par celle d'un os rempli de moelle mais bon il allait quand même pas demander ça comme repas. Il eu une étincelle de génie ou plutôt il trouva dans son disque dur ce qui pourrait être sympa à manger.

"Ça y est! J'ai trouver... Alros je voudrais.... Un hamburger... Avec des frites, ouais une bonne portion de frites... Et un steak pour le chien... Voila... A vrai dire je serais curieux de savoir quel gout ça a..."

Haru descendit de sa chaise pour s'assoir par terre en tailleur.

"J'te laisse cuisiner!"

Il commença à embêter son chien pour s'amuser, bien que le chiot n'avait pas l'air de trouver ça ennuyeux et se laissait joyeusement prendre au jeu.

"Au fait tu tiens ce restau' toute seule? Nan car à ton âges tenir un restaurant... Ca me parait irréaliste... En tout cas et sans vouloir te commander tu devrais te dépécher les autres devrait pas tarder a arriver..."

Encore une nouvelle ville. Nami voyageait beaucoup ces temps-ci, il faut dire qu'elle trouvait de moins en moins de moyens de se faire de l'argent, alors elle continuait sa route, éspèrant toujours quelque chose. Une sensation de faim s'était emparée d'elle depuis plusieurs jours déjà, mais il faut dire que ce n'était pas la première fois qu'elle ressentait ça, alors elle n'y faisait plus attention. Cette fois, elle s'était arrêtée dans une ville aux côtés plutôt mal famés, mais en y réfléchissant, aux yeux des riches, elle faisait sûrement partie de ce groupe de mots. Elle s'engouffra dans une vieille ruelle, là où on ne l'embêterait pas. La jeune fille avait vraiment faim. Et soif aussi, soif de sang... Secouant la tête comme pour se débarasser de cette pensée, elle se dit que si elle ne trouvait pas vite à manger, elle ne se contrôlerait plus. C'est alors que des bruits de pas la sortirent de ses pensées. Elle s'applatit rapidement contre le mur avant de glisser dans un coin. Ce qu'elle vit arriver l'étonna : une trentaine de personnes à l'air menaçant. Elle allait faire demi-tour quand quelques mots parvirent à son oreille : "Bouffe gratuire... Auberge Kuzumi..." Il n'en fallut pas plus à Nami pour sortir de sa cachette et élaborer un petit plan. Elle allait les suivre, et se fondre dans la masse à la table. Au début, c'était facile de les suivres, les ruelles étaient bien droites, mais au fur et à mesure, elle se faisait de plus en plus distancer, pour finalement se retrouver... seule. Rien à faire, elle ne les trouvait plus.

Eh bien, ils étaient sûrement déjà à l'auberge, elle décida donc de s'y rendre directement. Ce fut un travail laborieux, étant donné qu'elle ne demandait presque pas son chemin. La nuit était encore plus noire, quand elle apreçu enfin le toit du bâtiment. Elle courait, désormais, ne voulant pas être trop en retard. Elle freina juste devant la porte et l'ouvrit en grand. Il n'y avait quasiment personne... Mais ça sentait bon, la demoiselle n'avait pas été aussi proche de la nourriture fraîche depuis un bon moment. Avant de dire quoi que ce soit, elle remarqua deux personnes qui l'observaient. La première était une jeune fille, sûrement de son âge, aux longs cheveux roses et qui portait un tablier, Nami en conclut donc qu'elle était à l'origine de la bonne odeur. Quand à la deuxième personne... Il avait des yeux d'un rouge vif, et son regard était si peu humain... Comme l'oeil de la demi-vampire. Il jouait avec un chiot, un joli petit chiot, qui remua la queue à la vue de la nouvelle venue. Celle-ci se recoiffa nerveusement. Que faire... Elle n'avait plus vraiment le choix. D'un pas silencieux, elle s'inclina légèrement tout en s'adressant à qui pouvait lui répondre :

- Bonsoir. J'aimerais bien m'installer à une table, mais le fait est que je n'ai rien pour vous payer...

Et son estomac, comme un écho à ses paroles, se mit à gargouiller, tandis qu'elle se relevait. Les mèches qui cachaient la deuxième partie de son visage se déplacèrent alors, laissant entrevoir son oeil couleur sang, qui reflétaient une partie de ses intentions. Elle n'attendait pas obligatoirement la charité, non, elle exposait juste la situation qui l'avait amenée ici. Si elle devait repartir, elle quitterait tranquillement les lieux. Son regard se balladait sur les deux jeunes personnes, attendant une réponse de l'un où de l'autre.

Miyouki regarda Haru chercher ce qu'il désirait manger. Il se contentait de regarder son chien droit dan les yeux comme si celui-ci avait la réponse. Mais bon ce n'était qu'un chien et malgré toute l'affection qui pouvait exister entre eux il ne lui serait d'aucune aide. enfin c'était peut-etre une source d'inspiration pour lui qui sait. Elle posa sa tête dans se bras levant ses yeux vers le jeune homme qui regardait d'une manière obstinée son chien. Le restaurant était subitement devenu bien silencieux. Le sommeil commençait à la gagner quand celui-ci bougea à nouveau. Il déposa son chien à terre et pris une mine sérieuse. Elle ne se doutait poser un tel problème de réflexion à Haru en lui demandant simplement ce qu'il voulait manger. Elle se redressa et s'étira quelque peu prête à se mettre au travail. Une étincelle passa subitement dans son regard. Une idée surement. Elle s'attendait un peu à tout sauf à ce qu'il lui demande "ça". Elle se retînt de rire devant son visage si éblouissant. Soit il n'en avait jamais mangé donc bon pourquoi pas. Elle se leva en évitant le chien qui leur touranit toujours autour et se dirigea vers la cuisine.

" Oui c'est bon je m'en charge ce ne sera pas long à faire. "

Elle passa la porte de la cuisine laissant Haru seul dans la salle de restaurant. Elle se lava les mains et mis la friteuse en route et sortit de quoi préparer steack et hamburger. Elle se saisit du marteau à viande et comença à l'attendrir quand elle entendit la question d'Haru de l'autre côté de la porte. Pour le temps de préparation elle s'en faisait pas trop. C'était plus de la restauration rapide ce qu'il demandait. Et pour l'autre... Il est vrai qu'elle aurait du mal toute seule même si elle avait apprise seule et que sa mère lui confiait souvent les rênes. Mais le soir il lui aurait été impossible de gérer la cuisine et le service toute seule. D'ailleurs elle se demandait comment elle ferait ce soir encore. Sa mère était sortie et ne reviendrait demain dans le courant de l'après-mide... Enfin elle verrait bien sur place comment faire. De sorte elle répondit en haussant légèrement la voix pour que le jeune homme puisse l'entendre par dessus le bruit de la cuisson et le fait qu'il soit dans la pièce voisine.

" En temps normal je ne suis pas seule. C'est un établissement familial et j'y travaille avec ma mère mais celle-ci est absente aujourd'hui et ne revient que demain. Et ne t'en fais pas c'est rapide à préparer. "

Miyouki plaça les pommes de terre déjà découpées dans la friteuse avec un peu d'huile. Une chance que la cuisine est fait des progrès sinon il lui aurait fallu beaucoup trop de temps. Elle mis le steack attendrit et le parfuma quelque peu. Ce n'est parce qu'il est réservé à un chien qu'il ne doit pas être assaisonné. Elle le posa délicatement dans une assiette et la posa sur le côté. Et de une. Il ne manquait plus que la seconde commande. Elle avait préchauffer le pain au four et installait les sauces, la salade, les tomate et le fromage sur leur lit en attendant que la viande soit cuite. Une fois tout prêt elle sortit de la cuisine deux assiettes en main. Elle placa d'entre elle sur la table là où avait été assis précédemment Haru et l'autre au sol devant Numéro.

" Voilà ces messieurs sont servis! "

En disant ces mots les portes principales s'ouvrirent et laissèrent place à une ravissante jeune fille quoique plutôt pâle et creusée. Son oeil était d'un bleu magnifique et la captivèrent un instant. Ni Haru ni elle ne dirent un mot. La nouvelle venue les détailla un court instant avant de s'avancer en se courbant légèrement. Miyouki repris son sourire habituel et allait l'inviter à s'installer quand celle-ci fût plus rapide qu'elle. Son ventre accorda du crédit à ce qu'elle disait. Mais Miyouki avait déjà offert le repas à Haru et elle ne pouvait se permettre de l'offrir à qui viendrait réclamer à manger. Elle garda le silence un instant. Cherchant une solution elle n'avait pas vraiment remarquer la couleur peu commune de son second oeil. Elle s'essuya les mains sur son tablier -habitude qu'elle avait prise lorsqu'elle réfléchissait- et une idée lui vînt soudain. Si la jeune fille était d'accord cela résoudrait leur problème respectif. Elle s'approcha de la jeune fille le sourire aux lèvres.

" Je suis navrée mais je ne peux accorder à qui vient me la demander la charité. Si je le faisais nous nous retrouverions rapidement à la rue... Cependant vois-tu je suis aujourd'hui seule et ce soir le restaurant sera bondé de gens affamés. Donc si tu n'as pas l'argent pour payé ton repas que dirais tu de travailler ici ce soir ? Biensur le dînner et le petit déjeuner sont compris dans la paye ainsi qu'une chambre pour la nuit. Je vais chercher de quoi boire à ces deux là et tu n'auras qu'à me donner ta réponse après."

Sur ces mots Miyouki tourna les talons et se dirigea vers les cuisine à nouveau où elle sorti un bol, un pichet et un verre. Elle remplit le bol et le pichet d'eau et mit le tout sur un petit plateau noir. Cela fait elle ressortit et se dirigea vers la table d'Haru. Miyouki déposa le verre devant lui ainsi que le pichet et mit le bol à la disposition de Numéro. Elle remplit le verre du jeune homme avant de se retourner vers la jeune fille.

" Alors qu'en penses tu? Cela t'irais? Ah et au fait... Je m'appelle Miyouki. "

Elle lui sourit et lui tendit la main.

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Une jeune personne arriva dans le restaurant. Haru arrêta d'embêter numéro pour la détailler du regard. Ses yeux enregistrèrent toute les information qu'ils pouvaient analyser. Il sentit alors son plat arriver et se rassit n'écoutant pas ou peu la conversation engagée par Miyouki. A peine servis le chien et le maitre se jetèrent sur leur repas respectif, sans aucune sorte de manière ni convenance. Ils étaient naturellement affamés étant donnés le peu qu'il mangeaient, car évidemment un bol de riz a deux ça tenait pas au ventre. Une fois son repas largement avaler Haru tourna la tête vers son chien qui évidemment avait finis lui aussi. Il essuya sa bouche d'un revers de manche prit sa serviette et son chien et lui essuya le museau. Il but rapidement la carafe d'eau de la table et se retourna à un son de porte qui s'ouvre et au brouhaha qui accompagnait les déplacement des Hell's Fire. Il saluèrent tous Haru et certains caressèrent Numéro considérer comme une relique par tous et que seul les capitaines avait le droit de toucher sauf si Numéro lui même en décidait autrement. Bref tout un cake pour un chiot. Il se leva et alla vers Miyou et l'inconnu.

"A deux je suis pas surs que vous y arriverez, ils sont très exigeant enfin surtout les capitaines en fait... mais y en a 3 ce qui est déjà pas mal. Pour payer le steak de mon chien je veux bien vous aidez et puis c'est toujours plus sympa! Plus on est de fous plus on rit non?!"

Haru se retourna vers la fille qu'il redétailla de nouveau de ses yeux électronique avant de lui accorder un léger sourire.

" 'Alut moi c'est Haru content de te rencontrer!"

Comme elle s'y attendait, la serveuse refusa de nourrir gratuitement Nami. Evidemment, il lui fallait vivre, à elle aussi et vu la taille imposante du bâtiment elle avait sûrement une famille qui devait également avoir besoin de se nourrir. Toutefois, elle lui proposa de rester et de l'aider à s'occuper des invités qui allaient arriver, en échange d'un logement pour la nuit et d'un repas bien sûr. Sur ce, elle quitta la pièce, partie chercher de quoi satisfaire la soif de ses deux autres clients. Pendant ce temps, Nami réfléchissait. Elle avait deux options possibles : soit elle profitait de l'absence de la demoiselle pour s'emparer du plat chaud qui se trouvait sur la table et filer le plus loin possible, soit elle acceptait sa proposition. La deuxième solution était sûrement la plus préférable. Oui, elle aurait ainsi tout ce qu'elle voulait, c'est-à-dire se remplir l'estomac et un endroit confortable où passer la nuit. Servir ne devait pas être bien compliqué ! Lorsqu'elle se décida enfin, la jeune fille revint, posant le bol par terre et le verre sur la table. Elle me demanda à nouveau mon avis et se présenta sous le nom de Miyouki. Le garçons ne semblait pas les écouter, c'est donc à Miyouki qu'elle s'adressa :

- Eh bien, pourquoi pas. J'accepte volontiers ta proposition.

Enfin, les deux mangèrent. Mangèrent ? Plutôt... Engloutirent. Eux-aussi semblaient affamés et leur façon de calmer leur faim rappella à Nami que parfois lorsqu'elle mangeait, elle ne valait pas mieux. En quelques minutes, le repas disparut de leurs assiettes. Le jeune homme essuya sa bouche et celle de son chien, chose que la demoiselle trouva amusant, étant donné qu'ils avaient manqué de manières pendant tout le repas. Dès qu'ils eurent bien bu, le restaurant se rempli de monde, un monde plutôt familier pour Nami... La bande qu'elle suivait tout à l'heure. Au moins, elle les avait retrouvé ! Elle leva un sourcil en voyant que certains effleurèrent délicatement le chiot, comme si la moindre caresse trop brusque allait le briser. Enfin, le garçon se leva finalement et se rapprocha de Miyouki et elle-même, pour leur proposer joyeusement son aide. Puis, se tournant vers Nami, il la détailla à nouveau de ses yeux rouge, d'une façon qui prouva encore une fois à Nami qu'il n'était pas humain. Il se présenta ensuite sous le nom d'Haru et il ajouta qu'il était content de la rencontrer. Tiens, c'était la première personne qui lui disait cela. En principe, personne ne lui parlait, à elle, la nomade effrayante. Elle ne put donc s'empêcher d'esquisser un petit sourire et de répondre :

- Moi de même. Au fait, je suis Nami.

Sur ce, elle remarqua un tablier semblable à celui de Miyouki, accroché à un mur et se déplaça lentement jusqu'à lui, pour ensuite le nouer autour de sa taille, par dessus sa jupe noire. Certaines personnes de la bande commencèrent à la fixer, mais un regard mauvais suffisait à les faire arrêter. Elle revint vers ses deux collègues d'une nuit, attendant quelque chose à faire. Alors qu'elle était lancée pour bien travailler, son ventre lui rappela à nouveau qu'il avait besoin de se remplir, lui aussi, et elle s'appuya contre une table pour ne pas tomber. Elle commençait à avoir vraiment trop faim. Sa tête tournait un peu et par moment, elle se prenait à vouloir s'abreuver d'un certain liquide rouge... Ca n'allait plus. Son sourire se dissipa rapidement et un air sombre s'affichait désormais sur son visage. Elle releva la tête, et regarda Miyouki :

- Est-ce que je pourrais... Manger quelque chose avant de... commencer ?

Miyouki sourit. Deux problèmes de résolus. Après tout elle avait des chambres de libre et un besoin de trouver une aide rapidement. Elle tourna son regard ensuite vers ces deux nouveaux compagnons qui... mangeaient vaisemblablement ce qu'elle venait de leur servir. Elle n'eût même pas le temps de s'assoir qu'ils avaient fini. Elle les couva d'un regard que personne ne pouvait vraiment qualifier là où même elle n'en savait rien. Mais Miyouki s'était finalement attaché à Haru et son chien Numéro. A les regarder elle se dit qu'elle avait bien fait de leur chercher a boire a ses deux là. Il avait beau jouer les dur Haru était quand même tout sucre avec son chien. Laisser sa serviette au chien pour s'essuyer avec la manche... Elle ne put s'empecher de rire. Honnêtement. Comment ne pas rire devant ce spectacle? apparemment La nouvelle venue savit elle ou alors elle s'en fichait complètement. Enfin elle n'eût jamais le plaisir délucider cette question car Haru terminait à peine son repas qu'un flot de jeunes - et des plus vieux aussi vous me direz - gens se déversa dans son restaurant. Surement les gens qui composaient le groupe de son nouvel ami, ça ne pouvait qu'être que ça pour arriver ainsi en masse et se, comme qui dirait, "prosterner" devant le jeune Numéro. N'avaient-ils donc jamais vu de chien de leur vie? Ou était ce une sorte de dieu réincarner qu'ils priaient? Enfin Miyouki ne chercha pas plus loin les raisons obscures qui les poussaient à faire cela.

Et c'est alors que contre toutes attentes Haru se proposa d'aider dans le service. Haru? Non ça ne pouvait pas être lui qui sortait ça d'un air enjoué et rieur. Elle se promit de ne plus lui donner d'hamburger la prochaine fois. Non parce que là... "Plus on est de fous plus on rit"... Ca ne ressemblait plus du tout au Haru qu'elle avait rencontrer dans la rue un peu plus tôt et qui inspirait le respect mélé de crainte autour de lui. D'ailleurs elle regarda autour d'elle s'attardant sur les membres de son groupe qui se trouvait à proximité d'eux. Ils devaiebt surement s'étonner de quelque chose... Mais rien, pas de réaction. Ils ne devaient pas avoir entendu. Enfin le jeune fille en profita pour se présenter à son tour. Et pendant que Nami s'éloignait chercher un tablier comme le sien, elle s'adressa à Haru.

" T'es sur d'aller bien toi? Ca ne te ressemble pas vraiment cet exces de gaité. Tu fais presque peur en fait. Mais bon si tu veux aider je vais pas m'en plaindre. Si t'es motivé tu peux aller installer ta troupe autour des tables? Ce sera déjà une bonne chose de faite... "

La jeune fille répondant au nom de Nami revînt le tablier noué autour de la taille elle lui sourit. Miyouki allait lui demander la même chose qu'à Haru quand elle fût couper par un discret mugissement qui venait du ventre de celle-ci. Nami elle-même n'eût pas l'air au mieux de sa forme. Elle posa alors un regard inquiet sur elle et perdit son sourire. Nami releva quand même la tête et lui demanda si elle pouvait manger avant le service. Miyouki hocha la tête et s'adressa à Haru.

" Haru je te laisse t'en occuper seul un instant moi je vais servir quelque chose à Nami et je reviens. "

Elle entraina alors Nami à sa suite dans la cuisine et l'installa à une table. Heureusement pour elle, Miyouki avait préparé trop de frites en préparant le plat de Haru tout à l'heure. Elle les mit déjà dans une assiette propre et mis rapidement de la viande sur la plaque chauffante. Ca cuisait vite. Elle devrait se contenter du même plat que Haru car elle n'avait pas énormément de temps.

" J'espère qu'un hamburger frites ne te dérange pas..."

La cuisson de la viande finalisée, elle la mis entre deux tranches de pain parmis salade, tomate concombre et sauce avant de poser le hamburger sur l'assiette à coté des frites. Elle saisit le sel et en parsema au dessus celles-ci avant de poser l'assiettes devant la jeune fille. Elle sortit enfin un verre et le rempli d'eau à une machine avant de le poser devant elle.

" Tu n'auras qu'à le remplir à la machine si tu en reveux... Je suis désolée de te laisser manger seule mais je dois aller aider Haru en salle... Enfin tu nous verras surement passer avant que n'ais fini ton repas. Il reste encores des frites dans la friteuse si tu as encore faim après cela. Bon je file. "

Après cela elle se dépêcha de rejoindre Haru en prenant au passage un tablier pour celui-ci et se dirigea vers lui. Pratiquement tous les clients étaient attablés. Heureusement qu'ils lui obéissaient bien.

" Tu t'en sors? Après je te passerais un calepin pour les commandes et je m'occuperais de la cuisine. Il te suffira de les attacher là-bas.J'enverrais Nami t'aider dès qu'elle aura fini. "

Sans vraiment attendre de réponse de sa part Miyouki lui passa le tablier noir qu'elle lui avait pris en sortant de la cuisine et elle se dirigea vers un autre groupe qu'elle amena à l'une des tables retsantes. Ils auraient juste la place.

" Veuillez me suivre s'il vous plait. "

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Haru enfila un tablier et s'amusa a caricaturer la serveuse sexy en parlant avec une voix nasillarde et plutôt aiguë ce qui ne manquait pas de faire rire toute les personnes présente. C'est vrai que quand il était détendu Haru avait un sens de l'humour assez large et qui plaisait à pas mal de gens. Il prit donc commande dans des sifflement pour saluer son coté "serveuse sexy". Un de ses subordonné même plaça un billet dans le T-shirt d'Haru enfin la grosse déconne quoi. Numéro lui tournait autour aboyant joyeusement et remuant la queue comme pas possible. Il alla ensuite jusqu'à Miyou pour lui passer les commandes et récupéra le billet dans son T-shirt. C'était vraiment pas grand chose mais fallait apprécier même les petite sommes.

"Voila les commandes j'ai tout noté! Au faite... T'aurais pas une tenu de serveuse plus "sexy" à me passer? Nan car si ça continu y vont carrém..."

La phrase d'Haru fut stoppé par une explosion très sonore. Haru retourna dans la salle et vit le batiment d'en face embraser. Devant ce batiment se trouvait une bande de délinquant. Tous néoterriens a première vu. Haru fit rapidement le raprochement. C'était sans doute le groupe "révolutionaire" Néoterriens. La porte du restaurant vola jusqu'a Haru qui la brisa d'un coup de sa main mécanique. L'un d'entre eux se tenait dans l'encadrement de la porte léchant sa main pleine de sang.

"Tiens donc! On vient chasser les étranger de notre planètes et on retrouve l'un des plus célèbres de leur congénère à faire la serveuse dans un café moisis..."

Haru enleva d'un geste son tablier et tourna la tête vers les filles.

"Planquez vous 'vas y avoir du grabuge, on rembousrsera si y a de la casse..."

D'un bond Haru fondit sur le néoterrien et le fit attérir sur le bitume faisant tomber les hommes derrière lui. Alors les néoterriens se mirent de sorte à couper toute retraite au Hell's fire qui sortaient peu à peu dans la rue sortant lame, barre, batte, griffe pour certain et deux ou trois chaines pour les plus agiles. Dans un bruit métallique son katana sortit et Haru le pointa sur celui qui semblait être le chef.

"Je sais pas à quoi tu t'es saouler pour dire de tel conneries mais je vais vite te faire dégriser..."

Ce fut la fin du dialogue et une mélée furieuse commença. Les gens criaient de rage et de douleur, des fontaine de sang jaillissaient un peu partout. Les capitaines peinaient à faire respecter la coésion de leur groupe. Haru s'en fichait un peu il était là pour survivre. Il évitait les balle les lames les battes et autre armes tranchant dans le tas avec son long sabre qui découpait cinq néoterriens à chaque coup. Un cercle se dit autour de lui d'une vingtaine de néoterriens tandis que les dernier cris de douleur humains se taisait dans la masse des assaillant. Haru se rendit à l'évidence, il était désormais seul. Et ça lui faisait mal de savoir qu'une trentaine de personne venait de succomber si jeune.

"Hé hé .... Chui dans la merde ...."

*C'qui est surs c'est qu'un peu de renfort serait pas de refus...*

[ dsl pas d'inspi du tout u.u]

Miyouki la laissa enfin manger. Elles laissèrent Haru se débrouiller tandis que la serveuse guida Nami jusqu'à une petite cuisine qu'elle trouva très chaleureuse. Une poignée de frites l'attendait sur la table et Miyou se mit aux fourneaux. Une bonne odeur de viande, pas complètement cuite se fit sentir, et un étrange plat qu'elle ne connaissait pas rejoignit les frites. Sur ce, la cuisinière annonça qu'elle allait aider Haru puis fila. Nami attendit qu'elle soit bien partie pour commencer à manger.

Hmm, cette viande, elle sentait si bon... Des idées se mélangeaient dans la tête de la jeune fille. Devait-elle la goûter, cette viande saignante ? Elle semblait si délicieuse... Mais non, après, la demoiselle aurait du mal à s'arrêter. Il ne fallait pas qu'elle la mange, non... Trop tard. La demi-vampire avait cédé à son envie de sang de plus en plus grande, gardant une part de lucidité qui lui ordonnait de s'arrêter à cette viande et d'attendre un peu dans la pièce, seule, le temps de retrouver ses esprits. Elle découpa un petit morceau qui laissa une trace rouge dans l'assiette bien lavée.

Elle avait à peine commencé sa première bouchée qu'un bruit assourdissant se fit retentir. Nami tourna la tête. Pourquoi était-elle dérangée ? A ce moment, elle n'était plus vraiment elle-même, et c'est d'un pas lent qu'elle sortit de la cuisine et tomba sur l'affreux spectacle qui se déroulait dehors : Haru et ses hommes se battaient contre des Néoterriens dont la rage se lisait dans leurs yeux. Une multitude de corps jonchaient le sol et elle remarqua à peine Miyouki derrière une table, assistant à la scène. Les flaques écarlates qui coloraient chaque recoin rendit encore plus folle la demi-vampire, plus vampire qu'humaine. C'est alors qu'elle remarqua un groupe, une vingtaine ou plus, encore vivants, qui encerclaient quelque chose, ou quelqu'un. Ca, elle s'en fichait. Désormais, tout ce qui comptait était sa soif, et le moyen de l'étancher. D'un pas planant, elle se rapprocha tout en murmurant :

- Du sang frais...

Et sans attendre, elle se jeta avec une rapidité nouvelle sur l'un des néoterriens. Il avait beau se débattre, en quelques secondes, la demoiselle atteignit son cou et y enfonça ses canines. Elle sentit enfin la chose qu'elle attendait tant. Mais à peine eut-elle bu quelques gorgées qu'un autre néoterrien s'aprêta à la frapper de sa hache. Sans attendre, elle lâcha le corps évanoui et esquiva la lame tranchante, avant de se bondir sur l'agresseur pour lui faire subir la même chose que son prédécesseur. Et ça encore une bonne dizaine de fois. Rapide, elle savait ce qu'elle faisait et ne s'attardait pas sur chaque créature, pour en éliminer de plus en plus. Certes, elle avait une méchante griffure à l'abdomen et son bras droit était déchiré par plusieurs endroits mais plus rien n'avait d'importance pour elle, vampire assoifée. Elle était dans son monde, où le seul mot d'orde était de boire à volonté, monde visible au travers de son oeil rouge, qu'elle ne cachait plus désormais. Enfin, après un certain moment -elle ne faisait plus attention au temps-, elle n'eut plus soif, et, désormais entourée de cadavres, elle remarqua enfin que Haru se battait un peu plus loin avec les derniers ennemis, et s'inquièta pour Miyou. S'était-elle battue, elle aussi, et allait-elle bien ? Enfin, la Nami qui était arrivée ici était de retour, plus de vampire. Mais elle se rassura en voyant que Haru s'en sortait superbement bien, et sûrement Miyou, alors, soulagée, elle passa sa langue sur ses lèvres.

Ses lèvres... Leur goût... Oh non, elle se rendit compte qu'elle n'avait encore une fois pas pu résister. Cette fois, elle avait une excuse -sa défense et celle des autres- mais quand même, elle se sentit horrible. Elle se tourna lentement vers Haru, qui, malgrès ce qui venait de se passer, ne semblait pas du tout essouflé. Miyou les rejoignit sans atendre. Nami évitait désormais de croiser leurs regards. Alors, avant qu'ils n'aient pu prendre la parole, elle commença :

- Je crois qu'on a des choses à expliquer.

Une fois la totalité attablée, Miyouki passa derrière le comptoir et regarda la salle, bondée pour une fois. Haru se démenait dans son tablier entre déhanchements et voix nasillarde. Cela faisait du bien d'entendre des rires s'élever de part et d'autre de la salle. Elle laissa celui-ci se charger de relever les commandes seul tellement il semblait s'amuser. Il était totalement différent de quand elle l'avait rencontré un peu plus tôt dans la rue. La jeune fille s'accouda au comptoir, un sourire doux aux lèvres et regarda toute cette joyeuse compagnie de là où elle était. Un soupir s'échappa de ses lèvres et elle se releva. Les commandes commençait à affluer, elle devait donc se mettre au travail mais cette folie de bonne humeur lui donnait la force d'y aller le coeur léger et avec envie - oui ça davait vraiment être quelque chose pour qu'elle arrive à penser cela -. Elle s'approcha de l'espece de tableau où l'on accrochait les commandes d'ordinaire et attendit. elle vit Haru s'approcher d'elle. Il était à mourir de rire! Cette démarche, ce comportement... Et Numéro qui s'amusait en sautillant autour de lui. Miyouki me remercia quand elle il lui tendit les commandes et lui donna une légère tappe sur l'épaule qui pouvait signifier "beau bouleau bravo continue comme ça" ou alors "t'es trop toi!". Enfin dans ce cas là c'était peut-être les deux qui sait... Et le voilà qu'il lui demandait une tenue de serveuse plus sexy! Elle allait finir par le laisser se débrouiller avec son armoire et ses vêtements! Elle se demandait comment il en ressortirait quand une enorme explosion ce fit entendre le coupant en même temps dans sa phrase.

Miyouki accourut à l'entrée du restaurant qui faisait aussi hôtel et regarda par la petite fenêtre au dessus, quoique les fenêtre de la pièce en elles-même suffisaient à voir ce qui se passait dehors. Le ciel était illuminé par les flammes qui dévoraient entièrement le bâtiment d'en face. Elle vit alors un groupe devant l'infrastructure en feu, sûrement les responsables de l'explosion et de l'incendie à les voir se réjouir du spectacle. Elle vit soudain un petit groupe arriver en direction de leur rest'hotel suivit bientôt par tous les autres. Elle se décala juste à temps. La porte devant laquelle elle se tenait encore il avait quelques secondes à peine vola dans toute la salle jusquà Haru qui la brisa come si il ne s'agissait que d'une brindille. Elle se recula précipitemment quand elle vit le groupe d'un peu plus tôt entrer. Du sang. Ils étaient malades. L'un d'eux qui semblait à la tête s'adressa directement à Haru. Ils se connaissaient? Non pas d'après ce qu'il disait, ce serait même plutôt une franche rivalité teintée de haine. Tous ceux qui était encore assis s'étaient levés brusquement et Miyouki fut comme entrainer vers le fond jusqu'à se retrouver au niveau de Haru qui lui dit alors de se cacher quelque part. Cela n'annonçait rien de bon. Il y avait déjà la porte à remplacer alors si ils commençaient à se battre ici il ne s'en sortirait jamais. Elle allait justement lui répondre quelque chose quand elle le vit s'élancer contre les nouveaux venus et expédier celui qui avait parler dehors. Au moins la salle serait épargner.

Miyouki ne bougeait pas. Les gens qui composaient le groupe de Haru sortirent à sa suite, armés. Ce serait une vraie tuerie. Elle n'était pas habitué, mais alors pas du tout, à ce genre de violence gratuite. La salle était maintenant pratiquement vide. Quelques Neoterriens composant le groupe adverse se tenait devant l'entrer qui n'avait plus de porte, en confrontation direct avec ceux qui n'étaient pas encore sorti. Elle recula de sorte à se retrouver derrière une table. Ce fut vite fini. Les Néoterriens massacrèrent les pauvres du groupe à Haru. Du sang coulait dans son restaurant... Du sang. Elle vit alors subitement Nami s'avancer vers le groupe qui venait de les tuer. Elle allait la prévenir quand elle se rendit compte que quelque chose clochait, avait changer avec la jeune fille. Celle-ci passa près d'elle sans même se rendre compte de sa présence et s'attaqua sauvagement aux Neoterriens. Même si ça n'empêcha pas l'un de faire mumuse de sa hache. Y avait des limites quand même. La porte, le sang et maintenant d'autres dégâts matériels... Non mais qui sc'est qui va devoir s'occuper de tout ça et remettre en ordre? Miyouki tourna les talons et partit chercher la carabine qu'elle gardait toujours en cas d'attaque sous le comptoir. Ca semblait être la bonne occasion de l'utiliser. Heureusement que c'était l'un des nouveaux modèles qui possédaient une réserves de huit balles. Elle se dirigea alors vers la sortie.

Nami avait créer une percée et s'était ensuite dirigée vers la gauche. Quant à Haru... Il se battait seul, entouré. Et sinon autour d'eux il n'y avait plus que des Neoterriens debout. Tous ces hommes qui riaient en attendant leur repas devant les pitreries de Haru étaient morts... Elle décida d'aller vers la droite et de remonter vers celui-ci. elle n'était pas sans défense après tout. Il lui restait en plus de la carabine son couteau qu'elle gardait toujours sur elle et dont elle avait déjà usé. Ce n'était pas rare de se faire agresser dans la rue. Heureusement les Neoterriens ne faisaient pas vraiment attention à elle et étaient en majorité concentré sur ce qui se passait autour d'Haru et plus loin surement occupé avec la soif dévorante de Nami. Elle sortit son couteau. Pas la peine de tous les avertir de sa présence après tout elle n'était pas une "guerrière" au départ et encore au un contre un elle pourrait s'en sortir et encore ce ne serait pas sur. Elle en égorgea quelques uns de dos à la suite ou dès qu'il se rendait compte de sa présence. Quand elle se trouva un petit endroit dégagé - c'est à dire au milieu de la route à l'extreme droite du tas - elle sorti la carabine et la mis à son épaule en visant. Elle en toucha plusieurs en un tir, les balle de plombs s'éparpillait dans la foule. Elle fut vite repéré mais elle arriva à en finir avec tout ceux qui accouraient à elle, les autres bien trop occupé avec Haru qui se trouva délester de la moitié de ses assaillants. On y voyait plus clair maintenant. Elle vit Nami finir ceux qui restait tout comme Haru et se fût finit.

Elle vit Haru s'approcher de Nami et elle se dépêcha de rejoindre le petit groupe - de deux personnes (u.u') - qu'ils formaient. La jeune fille semblait gênée. Elle détournait son regar comme si elle voulait éviter de croiser le leur. Elle prit alors la parole mais Miyou' ne la comprenait pas. Que voulait-elle expliquer? Son oeil rouge? Elle n'était en rien responsable dans cette affaire et les avait même aider. D'un elan qu'elle ne maitrisa absolument pas et dont elle se demande encore la cause elle la prit dans ses bras en lui souriant gentiment.

" Ne t'en fais tu n'as rien à voir là-dedans et tu n'es pas obliger de nous expliqer si tu n'y tiens pas tes agissements. Merci de nous avoir aidé. "

Puis elle la relachâ en s'excusant de l'avoir pris de la sorte.

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Les renforts arrivèrent, mais ce fut inattendu car ce fut Nami et Miyou qui l'aidèrent. Le plus surprenant venait de Nami qui semblait bien être un truc du genre vampire, bien que voir Miyou sortir la carabine et tirer dans le tas fus plutôt impressionnant. Il regarda Miyou prendre Nami dans ses bras sans dire mots. Il regarda tout autour de lui et contempla le carnage, il regarda ses mains qui étaient couverte de sang avant de revenir sur terre. Il prit un mouchoir dans la pche d'un de ses gars et s'essuya quelque peu les mains. Numéro revint à ses pieds doucement la tête baisser reniflant tristement les corps au passage pour voir si ils étaient encore vivant. Le regard d'Haru s'embrasa. Il sortit son portable et envoya un sms générale à tout les membres Hell's fire. Il ne reçut qu'une réponse "c'est bon on y est" Haru appela alors le numéro qui avaient envoyer le sms. Tout les membres des Hell's fire étaient dans l'entrepot qui leur servaient de repère et le portable qu'il allait appeler était brancher à des haut parleur. Quelqu'un décrocha.

"Y sonjt tous là?
-Yep chef...
-Parfait... Les gars! Faite une dernière prière car vous risquer d'y passer, la réunion de ce soir a été écourter, tout ceux qui étaient présent son mort... Ces néoterriens on fait une déclaration de guerre et ils vont tous y passer. Retourner chez vous faite vos préparatif comme si vous allez y passer.... Coucher avec votre copine, bouffer comme des rois enfin ce que vous voulez mais revenez armés dans trois heures ici même...."

Le téléphone d'Haru s'emplit de cris de guerre de rage et il entendit certains crier leur haine, certains avait perdu leur amis, leur frère ou leur capitaine et ils réclamaient tous vengeance à l'unissons. Quant à Haru une haine profonde subsistait dans la rétine de ses yeux rouges. Il se dirigea vers Nami et Miyou.

"Miyou... pour ta porte... Tien je crois que dans mon porte monnais y a assez de thunes pour une porte. Tiens voici aussi mon adresse et le code numérique de mon coffres, si je reviens pas d'ici demains soir c'est que je serais mort, et mon coffres contient toute les économies du groupes. Vu que si j'y passe j'en aurais plus l'utilité je pense que ta mère et toi en aurez peut être besoins. rend aussi numéro, c'est encore un chiot mais il est bien élever, si je revien pas garde le pour moi il mange de toute et pourra finir les reste ou les truc perrimer mais prend une vieille godasse pour pas qu'il prennent les tiennes. Merci d'avance."

Il se tourna ensuite vers Nami.

"Si je reviens... Une place chez les Hell's fire t'intéresserait? Tu est plutôt douée au combat et on bien besoin d'un vampire ou d'une créature de ta sorte quel que tu sois, je pourrais te trouver un logement et de la bouffe... On en reparle à mon retour ok ? Je te laisse réfléchir. A plus les filles et j'espère à demains soir!"

Haru s'en allat alors, il ne voulaient pas entendre quoi que ce soit de la part des deux personnes, ni encouragement ni tentative de le raisonner rien, pour l'heure il voulait se concentrer sur sa tache une lueur de haine dans les yeux laissant Numéro derrière lui.

[fin du post pour moi ... enfin ce sera a continuer mais on verra comment ou et si vous le voulz xD]

Nami venait à peine de commencer sa phrase qu'instantanément, Miyouki se rapprocha d'elle et l'enlaça. C'était si soudain et si inattendu pour la demi-vampire que celle-ci n'eut pas le temps de se reculer. Il faut dire que c'était la première fois qu'une personne qu'elle avait à peine rencontrée se comportait aussi amicalement avec elle. Et pour continuer dans sa lancée, la jeune fille lui dit de ne pas s'en faire et la remercia également pour son aide. Pas possible, la demoiselle enlacée devait halluciner. Quelqu'un avait trouvé que son côté sanguinaire était utile ! Elle restait plantée là, les yeux grands ouverts, tant ces mots l'avaient touchée. Elle ne s'attendait tellement pas à ce qu'on lui dise ça, surtout maintenant. Miyouki finit par la lâcher, avec un dôle d'air, visiblement gênée par son geste. Elle ne tarda pas à s'en excuser. Quand à Nami, elle n'en revenait toujours pas et ne disait plus un mot. En fait, elle n'avait à s'excuser. Ce câlin, il avait fait du bien à la demi-humaine. C'était comme si on lui avait tout pardonné d'un coup. Elle savait bien que ce n'était sûrement pas tant que ça aux yeux de Miyouki, mais ça voulait dire qu'elle était son amie ? Haru la tira de sa -peu- profonde réflexion lorsqu'il commença à parler d'une attaque et de les rejoindre ainsi que je manger et de faire des choses pas très religieuses avant qu'il n'arrive... Mais de quoi il leur parlait ?! Ah non, Nami réalisa qu'il s'adressait à quelqu'un dans son téléphone. Il raccrocha puis se retourna vers Miyou. Il lui annonça qu'il avait de quoi réparer la porte et lui confia le chiot, qui s'appelait Numéro. Il donna ensuite quelques conseils à la jeune fille, au cas où elle devrait le garder définitivement. Si il ne revenait pas avant demain soir... C'est qu'il serait mort ?!

Il regarda alors Nami. Et comme Miyou, il semblait avoir apprécié sa façon de se battre, car il lui annonça avoir besoin "d'un vampire ou d'une créature de la sorte". Mais pourquoi donc ? Qui pouvait avoir besoin d'elle, surtout pour ce genre de choses ? Il lui proposa encore un logement et de la nourriture si elle acceptait de le rejoindre chez les certains Hell's Fire.

- Hell's... Fire ?

Sans lui en dire plus, Haru partit sur-le-champ. Nami n'avait jamais entendu parler de ça, elle ne savait pas quoi dire. Toutefois, si elle pouvait trouver de quoi se nourrir et un endroit confortable ou dormir, ça ne pouvait que lui être bénéfique... Oh et puis, elle avait le temps d'y réfléchir, après tout, il ne revenait que demain soir... Parce que la demoiselle était sûre qu'il allait revenir ! Il venait de les battre une fois, pourquoi pas une deuxième fois ? En attendant, Nami allait chercher de quoi s'occuper... Son regard revint à nouveau sur Miyouki et Numéro.

- ... Je propose que nous commencions par remettre ton restaurant en ordre. Ensuite, je pense que nous devrions attendre un peu, et si Haru n'est toujours pas là, nous irons le chercher.

La jeune néoterrienne était très organisée. Elle ramenait toujours de l'ordre à la vie vie peu structurée qu'elle menait. Quand il faut voler, ou ce genre de choses, chaque seconde compte. Certes, là, il ne s'agissait pas de survivre, mais d'aider Haru, qui lui avait si gentiment proposé un "travail". Et il ne fallait pas oublier le restaurant de Miyouki, ressemblant plus à un abbatoir qu'à un petit coin de paix où l'on peu déguster tranquillement son repas. En plus, elle avait été embauchée comme serveuse et malgrès les évènements cette information était restée dans un coin de la tête de Nami. C'est donc sans un bruit qu'elle fit demi-tour et se dirigea vers le restaurant, au départ seule, mais sa nouvelle amie la suivit bientôt, accompagnées de Numéro. Intèrieurement, Nami espéra sincèrement qu'il n'arrive rien à Haru.

[Pardon c'est court >.<]

Le silence s'était fait dans la petite rue devant le restaurant. Il ne restait debout que trois figures solitaire entourés d'une multitude de cadavre encore chaud. L'adrénaline éprouvé lors de l'attaque. Miyouki laissa le fusil tomber au sol fatiguée. De toute façon il était maintenant vide. Ses membres lui parraissaient lourse et vide. Non. Elle se sentait elle-même vide. Le souvenir d'il y a quelques instants à peine où tous riaient dans l'auberge lui semblait maintenant si lointain et la minait complètement. Ni Nami ni elle même ne pipait mot. Le seul à briser ce silence était Haru. On entendait ses doigts parcourir les touches de son portable pendant qu'il écrivait des sms. Il devait être bien plus ennervé qu'elle même. Après tout c'était ses amis, son groupe qui venait d'être massacré devant lui. Tous ses messages à envoyés - semblerait-il - le silence revînt sur eux. D'habitude le silence la mettait mal à l'aise et elle s'empressait de parler même pour ne rien dire mais là... Elle n'eut aucune envie de le briser. C'était une sorte de respect sûrement pour ceux qui gisait là à leurs pieds. Finalement ce fut le tour du portable à Haru de vibrer. Il regarda rapidement le message et appela. Il était aisé pour tout le monde de comprendre qu'il se préparait au combat et celui-ci avait quelques vues tragiques. Quand il eut fini il se tourna vers elle. Les cris de rages sortant du combiné reflétait son propre cri à lui qui ne passait pas ses lèvres mais que son regard renvoyait très bien. Personne n'avait besoin de dictionnaire pour le comprendre.

Le jeune homme s'adressa d'abord à elle. Ses paroles sonnaient un peu comme cele d'un testament qu'on delivre. Il lui légait en somme de l'argent pour la porte et le rest'hôtel. Enfin L'argent de la porte elle vait qu'il soit mort ou vivant. Elle prit le bout de papier avec l'adresse d'Haru et le numéro du coffre et le fourra dans sa poche ainsi que l'argent qu'il lui tendait. Son dernier geste fut de lui offrir Numero, son jeune chiot avec qui elle s'était vite entendu, si jamais il venait à mourir. Elle prit le chiot dans ses bras et hocha la tête en direction de Haru ce qui signifiait son assentement et le fait qu'elle le garderait jusqu'a son retour car il reviendrait forcément. Le jeune homme se tourna en suite vers Nami. Il lui fit la proposition d'entrer dans son groupe a son retour si elle était tentée et de subvenir par la suite à ses besoins. Après quoi il tourna les talons et partit sans un mot de plus. Miyouki sentait Numéro battre de la queue contre son flanc en regardant son maitre partir. Elle ne pensait pas qu'il comprenne ce qu'il disait mais il devait avoir saisit l'essentiel du message. Pour lui il ne faisait aucun doute qu'il reviendrait bientot aussi vite qu'il etait parti et qu'en attendant il resterait là guettant son retour. Elle serra le chiot contre elle et le reposa au sol. Celui ci s'assit dans ses pattes. Alors qu'il était maintenant loin elle inspira un grand coup et hurla de toute ses forces pour qu'il l'entende de la ou il se trouvait.

" FAIS ATTENTION A TOI ABRUTIS !!! "

Elle ne saurait le jurer mais il lui sembla qu'il leva la main a ce qu'elle dit. Peut-etre qu'il lui avait fait signe ou alors ce n'était que son imagination ce qui était fort probable. Après tout on parlait là d'Haru. Elle resta plantée là jusqu'à ce qu'il eut entièrement disparu. Alors elle carressa - n'en chercher pas la raison - le jeune chien et tourna a son tour les talons afin de rejoindre Nami. Elle jeta un coup d'oeil a son auberge et soupira. Mais qi'en avait-il donc fait. Dire que sa mère rentrait demain. Si elle ne réparait pas les dégâts avant son retour elle était bonne pour un savon. Et autre problèmes plus délicat... Qu'etait-elle sensée faire des corps ammoncés devant sa porte? C'est pas que ça la dérangeait mais ça allait rapidement empester et elle avait connu mieux pour ameuter des clients. Oh biensur ça n'arrêterait peut-être pas les fidèles mais pour en trouver des nouveaux... Peut-être si elle appelait la morgue... Il pourrais tous les rammasser avant le lendemain matin, enfin peut-être... Elle pouvait toujours essayer. Elle se rendit subitement compte que Nami lui parlait. Elle tourna la tête vers celle-ci et acquieça. Elle ne pouvait pas laisser son auberge dans cette état! Elle remonta ses manches et jeta un coup d'oeil. Il falllait enlever la porte remmetre les tables à l'endroit - heureusement aucune n'étaient réellement endommagées - et nettoyer le sang qui se trouvait encore là. Ce qui la peinait le plus était la vaisselle à terre qu'il faudrait remplacer. Il devait y avoir une dizaine de verres et six ou sept assiettes. Encore une chance les degât à l'interieur était relativement rapidement réparable mais à l'extérieur... Il fallait changer un carreau, refaire l'une des marches de l'entrée qui avait été brisée et passer un petit coup de peinturepour masquer les éraflures et autres petites bricoles. Elle se tourna vers Nami après avoir constaté l'étendue des dégats.

" Tu as raison Nami... On devrait commencer par enlever cette porte et remettre de l'ordre à l'intérieur. Tu t'occuper de finir d'arracher le semblant de porte restante pendant que je vais chercher le nécessaire pour nettoyer et passer un coup de fil pour qu'on nous enlève tout ce qui traine devant. "

En disant ceci elle fit un signe de tête en direction des cadavres. Il vallait mieux commencer dès maintenant à les retirer si on voulait en être débarassé avant le lendemain matin. Elle entra à l'intérieur et s'approcha du combiné qui se trouvait sous le comptoire. Elle appela en premier la morgue pour les prévenir du carnage et demander à en être débarassé. Apparemment elles avaient de la chance ils n'étaient pas débordés aujourd'hui et s'occuperaient d'eux dans les plus brefs délais. En gros ils seront là dans une heure. Elle passa ensuite un second coup de fil à un viel ami répondant au nom de Max et qui était l'un des habitués du restaurant. Elle lui expliqua rapidement ce qui s'était passé et lui demanda de l'aide pour une porte qu'il leur fallait neuve avant demain matin. En bon ami il lui dit qu'il s'en chargerait. Elle le remercia et raccrocha finalement le téléphone. Les choses semblait plutôt bien s'arranger. Elle remplit deux sceaux d'eau et y ajouta du produit et apporta avec deux serpillères. Elle posa son "attirail" de travail et commença a redresser les tables et a les pousser pour faciliter le ménage. Elle devrait penser à passer un coup sur celle-ci aussi après. Puis ceci fait elle pris une des serpillères et commença à nettoyer. Il en aurait surement pour un certain temps mais rien n'était irréparable ici ce n'était que des meubles.

» BASTOOOOON!!!! [pv Nami and Miyou]
» Un belle journée ! (libre) =) pas finit =(((
» Un rp avec moi